4 avril 2025, 19:00 – 20:15 | La Maison du docteur – opéra comique – Bizet
15,00 € – 30,00 €
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Dimanche 30 mars 2025, 16:30 – 18:00
Domaine des Frênes – villa Viardot
14 rue Yvan Tourguéneff 78380 Bougival
Détail des couplets
n°1 Couplet d’Éva : « Je veux me marier, à quoi bon le nier »
n°2 Couplet de Lord Harley : « Depuis la jeunesse, c’est une détresse, amis ou maîtresse tout me fait bailler »
n°3 Trio Éva, Toby, le docteur Job : « Quel bruit ! Ma fille, Sa fille, Elle m’a reconnu… »
n°4 Air de Toby : « Dieu du mal, esprit fatal »
n°5 Duo Éva, Toby : « C’était vous »
n°6 Duo bouffe, Toby, Lord Harley « Sort qui traverse »
n°7 Final Éva, Toby, Lord Harley, le docteur Job « Nous avons le cœur en fête »
Synopsis
L’histoire met en scène le docteur Job, soixante ans, Éva sa fille de dix-huit ans, Toby, vingt-quatre ans, Lord Harley, cinquante ans, et un domestique. Parodiant Le fou raisonnable, ou l’Anglais, comédie de Joseph Patrat créée en 1781, elle tourne autour d’une double pensée de suicide que nourissent un amoureux, pauvre et orphelin, ainsi qu’un anglais splénétique.
Éva s’ennuie ; elle voudrait se marier mais hésite entre un jeune homme, qu’elle voyait de sa fenêtre de pensionnat à Londres, et un mystérieux personnage, qui la sauva à la sortie d’un bal. L’un des patients du docteur, Lord Harley promet une belle récompense à qui le guérira de son ennui. Le docteur lui promet de trouver une solution et l’envoie visiter son jardin avec Éva. Toby arrive alors, au désespoir de ne plus voir la femme qu’il aime. Toby, décidé à mourir, veut outre la corde et les pistolets dont il dispose déjà, se munir du poison du docteur.
Mais Toby renonce soudain à son projet en reconnaissant dans Éva la jeune fille qu’il recherche. Il la demande aussitôt en mariage. Le docteur Job, un peu effrayé, pose ses conditions à Toby qui se révèle être à la fois le jeune homme « aux regards » et le mystérieux sauveur d’Éva. Lord Harley, pressé d’en finir, échange la corde de Toby contre une forte somme. Ce dernier lui conseille de plutôt se marier pour échapper à l’ennui. Lord Harley demande à son tour la main d’Éva, ce qui provoque la fureur de Toby, mais il renonce à son projet et lègue sa fortune aux jeunes gens.
Présentation
Bizet découpe sa partition pour chant et piano en sept numéros. Les moments expressifs et tendres contrastent avec des numéros essentiellement gais, vifs, menés avec un bon sens des situations. Bizet saisit parfaitement l’esprit de la musique lyrique légère de type bouffe : il faut viser à l’efficacité sans chercher un grand raffinement d’écriture. Les motifs sont enlevés, bien dessinés et coulent avec naturel d’une voix à l’autre ; les accompagnements sont simples et les effets rapides et nets.
Voilà qui dessine sans équivoque un portrait musical de Bizet humoriste, homme de théâtre aimant la plaisanterie. La dimension fantaisiste du personnage n’est pas d’emprunt, pas plus que son goût pour le comique. Ils jaillissent spontanément, sans grande élaboration ; ils s’exprimeront sous d’autres formes, dans de folles soirées, dans des lettres, trouveront une pâture dans le théâtre à la mode. De ce fond, Bizet va conserver un esprit piquant et un à-propos scénique. Il va assimiler ces qualités à son langage et leur apporter un raffinement nouveau, devenant un musicien-humoriste subtil, dès Le Docteur Miracle, mais aussi dans Djamileh et Carmen.
Hervé Lacombe, biographie de Georges Bizet, Édition Fayard.
BIOGRAPHIES DES ARTISTES
Emmanuel Olivier, piano direction musicale
Emmanuel Olivier étudie le piano au Conservatoire National de Région de Lille, au Conservatoire Royal de Bruxelles puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il reçoit les diplômes de formation supérieure de piano, accompagnement vocal et accompagnement – direction de chant ainsi que les premiers prix de musique de chambre et d’analyse. Se consacrant particulièrement au répertoire du Lied et de la mélodie, il se perfectionne auprès de Ruben Lifschitz et Martin Isepp à l’Abbaye de Royaumont, de Walter Moore à la Universität für Musik de Vienne, et avec des artistes tels que Elly Ameling, Walter Berry et Hans Hotter au Franz Schubert Institut de Baden (Autriche). Il joue en soliste et accompagne de nombreux chanteurs en France, Belgique, Suisse, Autriche, Allemagne, Angleterre, Irlande, Italie, Pays-Bas, Chypre, Jordanie, Chine, Japon.
Chef de chant, il a travaillé notamment à deux reprises sur Les Troyens, avec John-Eliot Gardiner puis avec John Nelson (avec qui il collabore également pour Benvenuto Cellini et Béatrice et Bénédict). Il rencontre aussi des chefs tels que Von Dohnanny, Eschenbach, Eötvös, Malgoire pour un répertoire allant de Paisiello et Mozart à Berg et Weill. Il participe à de nombreuses créations de Campo, Dusapin, Herz, Mantovani, Marti, Pécou, Strasnoy et est engagé par le Théâtre du Châtelet, la Cité de la Musique, l’Opéra-Comique, Radio-France, l’Opéra de Lille, le Grand Théâtre de Genève, la Philharmonie de Dresde, les festivals de Wexford (Irlande) et Wildbad (Allemagne) ainsi que l’Opéra Central de Pékin pour la création chinoise des Contes d’Hoffmann (avec François-Xavier Roth).
Directeur musical, il a notamment dirigé Don Giovanni et Orfeo ed Euridice avec La Grande Ecurie et la Chambre du Roy, Tosca avec l’Orchestre du Grand Théâtre de Reims, Opérette d’Oscar Strasnoy (commande de l’ARCAL) avec l’ensemble 2E2M (Opéras de Reims et de Metz), Riders to the sea avec le Malta Philarmonic Orchestra, ainsi que O mon bel inconnu à l’Opéra Comique et au Théâtre impérial de Compiègne. Il est directeur musical pour L’Amour masqué et Cendrillon à l’auditorium du Musée d’Orsay et dirige Les Enfants terribles de Philip Glass à l’Opéra de Bordeaux, à Bilbao et Rotterdam, ainsi qu’au Théâtre de l’Athénée à Paris et à l’Opéra de Rennes. Emmanuel Olivier a également composé la musique d’une « opérette de rue », le Procès des sorcières, produite par la compagnie On/Off et La Clef des chants.
Après avoir enseigné à la Maîtrise de Radio France, il est à présent professeur assistant d’accompagnement vocal au CNSM de Paris. Il donne à plusieurs reprises des masterclasses au Conservatoire Central de Pékin et à la Musikhochschule de Karlsruhe. Il intervient également à Royaumont, à l’Académie européenne du Festival d’Aix-en-Provence, ainsi qu’auprès d’Udo Reinemann, à Monthodon et à l’Académie Maurice Ravel de Saint-Jean de Luz.
Anaïs de Faria, soprano
Finaliste du concours Opéra en Arles 2022 et lauréate du Prix Fondation Eurydice au concours d’opérette et opéra-comique 2023 des Maîtres du chant, Anaïs s’attache fortement à défendre sa pluridisciplinarité. Danseuse et instrumentiste, elle se forme en comédie musicale puis se perfectionne au Pôle Lyrique d’Excellence avec Cécile de Boever après l’obtention de son DEM de chant lyrique au CRD de Pantin dans la classe de Mickaël Mardayer. Elle reçoit les conseils de Mariella Devia, Patricia Petibon, Pierre Ribémont, Emmanuelle Cordoliani, Vincent Vittoz et des chefs de chant Antoine Palloc, Fabrice Boulanger, Emmanuel Olivier et Mathieu Pordoy au travers de stages et productions d’opéras.
De la Basilique de Vézelay à la Scène nationale du Sud-Aquitain, Anaïs ne se met aucune barrière; elle incarne des rôles d’opéra, opérette, comédie musicale (Thérèse, Despina, Frasquita, Barbarina, Eva Marchal, Maria, Roxie Hart,…) et se produit en récital et comme soliste d’oratorio (Messe en ut mineur de Mozart, Magnificat de Rutter,…). Elle explore le répertoire de lieder et mélodies en duo avec la pianiste Flore-Élise Capelier.
Elle intègre le chœur Mikrokosmos (dir. Loïc Pierre) de 2013 à 2019, où elle côtoie les chefs Grete Pedersen et Félix Bénati. On a pu l’entendre y tenir des parties de soprano solo au Théâtre des Champs Élysées et à la Folle Journée de Nantes et de Tokyo, Via Aeterna au Mont Saint Michel et le Festival des forêts. Elle chante aussi sous la direction de Michel Laplénie, Catherine Simonpietri et Pierre Cao.
Parallèlement à sa pratique chorale, Anaïs élargit sa palette artistique auprès de Daïnouri Choque, Sonia Cat Berro et Philippe Duchemin, et découvre le monde du cinéma avec Anna Cazenave Cambet qui lui offre un rôle dans son premier long métrage, De l’or pour les chiens, sélectionné pour la semaine de la critique du festival de Cannes 2020.
En 2021, Claire Diterzi (Cie Je Garde Le Chien) la choisit comme interprète seule en scène de sa nouvelle création, Puisque c’est comme ça je vais faire un opéra, toute seule, un opéra jeune public pluridisciplinaire. En tournée dans toute la France, le spectacle a fêté sa 100e représentation en 2023 à l’Opéra de Limoges.
Suite à leur rencontre pour l’émission « Génération France Musique, le live », Ayano Kamei lui propose de devenir « sa » Thérèse (Les mamelles de Tirésias, Poulenc) pour son récital de direction de chant au CNSMD de Paris en juin 2024.
Cette saison, elle retrouvera Thérèse/La cartomancienne à l’occasion des rencontres autour de l’accompagnement musical sous toutes ses formes organisées par le CNSMDP.
Anaïs se replongera dans le rôle de Frasquita pour la nouvelle production de la Fabrique Opéra Val de Loire (dir. Clément Joubert et ms. Quentin Delépine) ainsi que dans une version concert à Lyon, suite à l’invitation de Cécile de Boever pour accompagner la nouvelle promotion du Pôle Lyrique d’Excellence.
Clément Debieuvre, ténor
Le ténor Clément Debieuvre est diplômé du Centre de Musique Baroque de Versailles. Il est lauréat de la fondation Royaumont.
On a pu le voir ces dernières saisons dans le rôle d'Arnalta dans le Couronnement de Poppee de Monteverdi avec l'ensemble Matheus ainsi que dans la production des Amants magnifiques de Lully et Molière sous la direction d'Herve Niquet. Il fait ses débuts avec l'ensemble Pygmalion dans la tournée du disque les Enfers avec Stephane Degout. La même année, lors du Musikfestpiel Potsdam Sans-souci, il joue les rôles de Philene/un berger/un espagnol/un italien; dans l'Europe Galante de Campra.
Durant la saison 2018-2019, il apparait dans Jephte de Monteclair, au MUPA de Budapest dirigé par Gyorgy Vashegyi (disque à paraitre), dans la descente d’Orphée aux enfers avec Correspondances, la messe à quatre chœurs à l’auditorium de radio France (disque à paraitre), la forêt bleue de louis Aubert à l’atelier lyrique de Tourcoing, le dixit dominus de Haendel avec les arts florissants et Paul Agnew, les amants magnifiques de Lully et Molière à l’opéra de Limoges.
En 2019-2020, Clément joue Pygmalion dans Pygmalion de Rameau à Osaka (Japon). On le voit également à la chapelle royale du château de Versailles dans un programme de motets français de Robert; y interprète également le génie dans Sémiramis de Destouches avec les Ombres. Il est Arcas dans Dardanus de Rameau au MUPA (disque chez Glossa).
En 2021, on retrouve Clément au château de Versailles dans plusieurs productions : Magnificences sacrées avec William Christie, les grands motets de Lully avec les Epopées. Il y chante David dans David et Jonathas de Charpentier sous la direction d'Olivier Schneebeli. Il fait ses débuts avec l'ensemble Les surprises dirigé par Louis-Noel Bestion de Camboulas dans un programme de méditations de Charpentier et dans Rameau chez la Pompadour à la maison de la radio (disque chez Alpha); ainsi qu'avec les Ambassadeurs d'Alexis Kossenko à Helsinki pour deux opéras de Colin de Blamont ( disque à paraitre ).
En 2022, il participe à la tournée Molière du Concert Spirituel dans la pièce mise en musique par Lully: le Sicilien ou l'amour peintre. On le voit avec les Surprises dans deux tournées ; Te Deum de Charpentier et nuit à Venise (disques à paraitre). A Versailles, il est soliste dans le troisième volume des grands motets de Lully sous la direction de Stéphane Fuget. Il participe au CD Music for Lady Louise dirigé par Lucile Tessier et son ensemble Léviathan.
2023 est une année riche pour Clément, il chante alto solo avec les arts florissants dans leur nouvelle production de Didon et Énée à Madrid, Versailles et Compiègne. On le retrouve pour le quatrième et dernier volume des grands motets de Lully avec Stéphane Fuget. Il fait ses débuts avec l'ensemble près de votre oreille de Robin Pharo pour une messe de Byrd. En septembre puis en tournée en France, il interprète Erinda dans la nouvelle production de l'Arcal, l'Orfeo de Sartorio, dirigée par Philippe Jaroussky et mise en scène par Benjamin Lazar.
C'est en 2024 que Clément fait ses débuts à l'opéra de Paris ainsi qu'au teatro Real de Madrid dans Médée de Charpentier sous la direction de William Christie. On le retrouve au théâtre de verdure du Plessis Robinson en septembre pour un récital hybride au cote de la comédienne Alexandra RUBNER. Il poursuit en 2025 la tournée de l'Orfeo de Sartorio à l'atelier lyrique de Tourcoing et au théâtre de Poissy, participe au nouveau projet de l'ensemble Près de votre oreille de Robin PhARO: mes amours durent en tout temps. Il est ravi de créer avec la pianiste Amandine DUCHENES un récital en janvier au théâtre de Charleville-Mézières. Il joue Toby dans l'opéra de jeunesse de Bizet, la maison du docteur, villa Viardot à Bougival.
Clément est représenté par l'agence RSB artists.
Ronan Debois baryton
Ronan Debois est né en 1980 à Caen. Après avoir obtenu un premier prix au CNR de Rennes, il entre en 2004 au CNSM de Paris, dans la classe d’Isabelle Guillaud.Ronan Debois fait ses débuts à l’Opéra de Rennes dans les rôles de Silvano dans Un Ballo in Maschera de Verdi, Yamadori dans Madame Butterfly de Puccini et Ben dans Le Téléphone de Menotti.
En 2008, il présente le Concours d’Entrée du CNIPAL où il est pensionnaire pour la saison 2008-09. La même année, il interprète Malatesta (Don Pasquale de Donizetti) à Monaco, et l’Opéra de Marseille l’engage dans le rôle de Bogdanovitch (La Veuve Joyeuse de Fr. Lehar). Il est aussi Mr Smith dans La Cantatrice Chauve de Gérard Calvi, à l’Opéra National de Montpellier.
Il est membre de la première académie de l’Opéra-Comique où il chante Roger dans Ciboulette de Hahn, le baron de Pictordu dans Cendrillon de Viardot ou encore Schaunard dans une adaptation de La Bohème. Il est également Presto dans Les Mamelles de Tirésias de Poulenc dans le cadre de l’académie d’Aix-en-Provence, Figaro dans Les Noces de Figaro au théatre de Bastia, Rigobert dans Les Mousquetaires au Couvent, ou bien Cassard dans Les Parapluies de Cherbourg à l’Opera de Massy puis à l’Opéra de Vichy
Il chante également la sorcière et le marin dans Didon et Enée de Purcell à l’opéra Royal de Versailles, participe à la création du web-opéra de Marc-Olivier Dupin et d’Ivan Grinberg Le Mystère de l’Ecureuil bleu où il chante le rôle de St Germain, il est Tairapa dans L’Ile du Rêve de Reynaldo Hahn au Théâtre Athénée à Paris, chante dans le cabaret lyrique La Mécanique des sentiments et participe à la tournée du Malade Imaginaire avec la Comédie Française.
Ronan Debois a été distingué comme Révélation Lyrique 2008 de l’ADAMI.
Arnaud Marzorati baryton
Arnaud Marzorati étudie d'abord le chant à la Maîtrise du Centre de musique baroque de Versailles, auprès de « maîtres » comme James Bowman, Noël Lee, Martin Isepp et Sena Jurinac... Il obtient par la suite un Premier prix de chant au Conservatoire de Paris – CNSMDP dans la classe de Mireille Alcantara. Son répertoire s’étend de la musique baroque à la musique contemporaine.
Il a chanté avec les Arts Florissants, Les Talens lyriques, le Concert Spirituel, Le Poème Harmonique... Il a participé à la création de l’opéra Alfred- Alfred de Franco Donatoni, du Balcon de Péter Eötvös au Festival d’Aix-en-Provence. On a pu également le voir interpréter les rôles de Figaro (Opéra de Lyon), Papageno (Opéra d’Avignon), Malatesta, Leporello (Festival d’Orange), etc... Passionné par l’Histoire de la chanson française, il est accompagné par la Fondation Royaumont dans ses recherches musicologiques. Régulièrement, la Cité de la Musique l’invite pour des programmations en lien avec ses recherches.
Plusieurs enregistrements en solo, parus sous le label Alpha, témoignent de l’originalité de sa démarche autour de la chanson historique et ont été salués par la critique : Le Pape musulman de Pierre-Jean de Béranger, La Bouche et l’oreille, sur des chansons de Gustave Nadaud. Avec Les Lunaisiens, il enregistre « 1789 » (Alpha) et Révolutions (Paraty) sur les chansons révolutionnaires des XVIIe et XIXe siècle, puis Votez pour moi ! en 2017 chez le label Aparté.
En 2014, Arnaud Marzorati a donné un cycle de récitals pour le musée d’Orsay sur le thème de la Grande Guerre (Jaurès, paix et propagande). Il initie en 2015 et 2016 de nouvelles rencontres croisées entre la chanson populaire et la musique classique en partenariat avec le Palazzetto Bru Zane de Venise, le Centre de musique baroque de Versailles (CMBV), France Musique, la scène nationale de Dunkerque.
Pour le tricentenaire de l’Opéra-Comique, il créé en 2015 La Guerre des théâtres. En 2017, il donne la première d’Atys en folie au Teatro Manoel de La Valette (Malte) en partenariat avec le CMBV. En 2019, il entre avec Les Lunaisiens en résidence au Festival des Abbayes en Lorraine et devient toujours avec son ensemble "artiste associé" à La Barcarolle de Saint-Omer.
Il sort notamment, chez Muso, des disques consacrés aux univers musicaux de Brassens, Boris Vian, à l’épopée napoléonienne avec Sabine Devieilhe, ainsi qu’à Molière et La Fontaine mis en musique à travers deux livre-disques aux éditions La Joie de Lire. En 2023 paraît Merd' v'la l'Hiver, avec Stéphanie d'Oustrac chez Alpha-Outhere.
Informations complémentaires
Tarifs | Plein tarif, Tarif réduit |
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